PORT DES MARINES, LA FIN PRECIPITEE DE LA CONCESSION – bulletin d’information n3

Acculé à trouver d’urgence des recettes nouvelles pour équilibrer ses dépenses, le maire a décidé de mettre un terme à la concession du port des Marines, deux ans avant son échéance (fin 2019). Il a poussé le conseil municipal à délibérer sans la moindre concertation préalable. Aucune étude sérieuse n’a fait le bilan technique et financier de la gestion passée. Aucun compte d’exploitation prévisionnel, ni aucune information précise sur les modalités de gestion future n’ont été présentés. Les élus ont pris une décision lourde de conséquences financières sans disposer du moindre élément objectif pour éclairer leur choix. Le maire les a assuré que cela allait faire rentrer beaucoup de « cash » dans les caisses de la commune.

250 milliards de recettes fondent sous le soleil du port des Marines

Circulez y a rien à voir sinon l’incroyable compte rendu du conseil municipal du 21 décembre 2015 qui avançait que l’opération rapporterait 250 000 milliards d’euros. 250 milliards, rien que ça, soit presque autant que les recettes nettes du budget de l’État !
Il a fini par avouer qu’il y avait 3 zéros de trop, soit encore 250 millions !
Puis il a ramené le compteur aux dizaines et enfin aux unités. Les recettes s’effondrent avant de rentrer dans les caisses de la commune.
D’importantes dépenses sont prévisibles : constitution du capital, indemnisation des plaisanciers titulaires d’un droit d’usage, rachat des biens de reprise, réalisation de travaux pour l’accueil de plus grosses unités…

L’improvisation et l’autoritarisme du maire risquent de coûter cher à Cogolin.

COGOLIN PLAGE: UN « TERRAIN DE JEUX » MARECAGEUX – bulletin d’information n3

« Un été pas comme les autres » avait claironné le maire à grand renfort de publicité gratuite dans la revue municipale. «Dinner in the sky», jetski, spectacles d’illusions… allaient enflammer la plage et le quartier. Et l’été fut de fait très particulier avec une succession incroyable de déconvenues pour les activités dont il avait fait la promotion : l’échec commercial des « dîners dans le ciel» du port des Marines qui n’auront pas duré quinze jours; l’incendie du restaurant du lot de plage n° 2 qu’il avait attribué à un couple d’amis et qu’il fréquentait assidument avec son conseiller en urbanisme. Quant au chapiteau de l’illusionniste qu’il a laissé s’installer avec complaisance dans une zone inondable, il n’a pas fait recette, malgré une publicité sans limite.
Cerise sur le château de sable le maire vient de renoncer à confier la gestion de la base nautique municipale au privé suite aux observations du Préfet que Place Publique avait également saisi.

Mais le revers le plus lourd est l’abandon de la Société Publique Locale qu’il avait créée avec la ville de Fréjus. Avec la suppression de la Zone d’Aménagement Concertée (ZAC) du littoral, ce sont les instruments mis en place pour urbaniser Cogolin qui disparaissent les uns après les autres.
Comment vont être gérés les dossiers d’urbanisme de la commune ? Quel sera le statut de M.Smadja privé de la présidence de la Société Publique ? A quelle table vont-ils se retrouver en compagnie de l’incontournable M.Forouzandeh, le marié du lot n° 2 ?

Quand le Yotel devient le terrain de courses à l’immobilier et à l’argent.
Par la voix de son directeur de cabinet, le maire vient de lever le voile sur ses projets d’aménagement du terrain communal du Yotel devant un parterre de professionnels de l’immobilier à Saint-Tropez. Après l’avoir nié à plusieurs reprises, il commence à admettre que le lieu est inondable.
Place Publique l’a toujours affirmé et le Préfet le lui a opportunément rappelé, l’obligeant à abandonner quelques idées bricolées à la va-vite, comme une école ou un centre de formation. Le plus choquant, c’est cette manière qu’il a de donner la primeur de ses informations à des représentants du secteur privé alors qu’aucun début d’étude de projet n’a été présenté ni au conseil municipal ni à la population.
Pour être informés, les élus et les habitants de Cogolin repasseront, car la concertation n’est pas inscrite dans la conception que Marc Etienne Lansade, le professionnel de l’immobilier, a de son mandat de maire.

La Chambre Régionale des Comptes a sévèrement critiqué les conditions d’attribution (sans mise en concurrence) du bail d’exploitation du Yotel à la société « Marina Paradise » (qui n’existait pas au moment de la signature du bail) et sa sous location à une autre société sans que le conseil municipal en ait été informé.
Place Publique avait dénoncé ces faits point par point au moment de leurs décisions, dès février 2015

Images et Pdf complémentaires :
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– lettre-au-pra-fet-du-var-du-23-fa-vrier-2015-pdf.20161001.pdf
– lettre-au-maire-23-02-2015-pdf.20161001.pdf
– lettre-au-maire-17-03-2015-pdf.20161001.pdf

COMMENT ILS DEPOUILLENT LE CENTRE VILLE – bulletin d’information n3

Le centre-ville se meurt, mais le maire et son conseiller en urbanisme poursuivent leur politique de spéculation dans un grand désordre, au gré des opportunités foncières.
Ils ont déjà vendu un terrain communal au-dessus du cimetière pour réaliser un programme de 140 logements, aucun à vocation sociale.
Ils ont renoncé à démolir l’école Chabaud mais veulent toujours racheter l’ancienne maison de retraite pour la céder à des promoteurs privés par l’entremise de notaires de Levallois Perret. Ils effacent là aussi toute vocation sociale pourtant inscrite dans le legs de Mme Peirin.
Ils veulent déménager les stades de football pour bétonner l’espace libéré. Tant pis pour les écoliers et collégiens qui s’y rendent quotidiennement à pied avec leurs professeurs de sport,
comme pour les enfants et les parents qui y pratiquent des activités, notamment pendant les périodes de vacances?

Après avoir fait approuver par le conseil municipal un projet de parking semi-enterré, sans la moindre étude technico-financière sérieuse garantissant sa rentabilité, le maire vient d’annoncer son report « sine die ». Que va devenir du coup le plan de circulation (déjà payé) qui était organisé autour de ce futur parking ?

La presse nous informe que le maire lance en urgence des travaux de réhabilitation de la Place Victor Hugo d’un coût de 370000€ sans en informer le conseil municipal ni consulter la
population.

Le bar des sports est-il devenu le lieu des arbitrages et la concertation se réduit-elle à la consultation de son adjointe à l’urbanisme et de ses proches?
Autre question: pourquoi n’y a-t-il aucun banc prévu dans le projet? Serait-ce pour la même raison que la suppression des
bancs de la place de la mairie? Les anciens savent à quoi s’en tenir: debout.

Alerte: Pour « faire rentrer du pognon » le maire veut céder la demeure-musée Sellier et en faire un hôtel privé.
Place Publique s’opposera par tous les moyens de droit à l’aliénation de ce patrimoine historique qui appartient à tous les Cogolinois

Le triste illusionniste – bulletin d’information n3

La publicité tapageuse qui lui a été faite n’a pas suffi.
Ce n’est pas sous le chapiteau, installé en zone inondable de la plage des Marines, qu’était l’illusionniste. Le seul, le vrai se trouve toujours en mairie: un certain Marc Etienne Lansade.
Il fait disparaître dans son chapeau, aussi noir que ses idées, tout ce qui lui déplaît : bancs publics, danses orientales, commerçants maghrébins, animation sur les différences, anciens combattants africains du débarquement en Provence, drapeaux européens, gratuité des transports scolaires, dotations aux écoles, études du soir, subventions aux associations et au centre social…

Ce magicien à la baguette dévastatrice extirpe de l’abime des objets et des personnages insolites, parfois inquiétants : un premier adjoint révoqué de la police municipale; une directrice de la communication marraine de la fille de Marion Maréchal Le Pen, « Olympe », désormais le nom de la salle d’honneur de la mairie – celui du peintre Héliodore Pisan a été jeté aux oubliettes – un conseiller très spécial en urbanisme proche des inénarrables Balkany et compagnon de ses sorties avec le couple d’amis à qui il a attribué le restaurant de plage, récemment parti en fumée…

Il ne réussit pas tous ses tours de passe-passe et en abandonne, souvent sous la pression, en jurant que ce n’est pas sa faute mais toujours celle des autres. Ainsi en est-il allé du parking Maurice Barrès, de la démolition de l’école Chabaud pour des projets immobiliers, de la baisse exceptionnelle de la dotation de l’école qui avait osé inscrire la chanson Aïcha dans un projet pédagogique, du déménagement de la médiathèque, de l’enregistrement des conseils municipaux par une société de la nébuleuse d’extrême droite dirigée par Fréderic Chatillon, du recrutement d’un directeur de la communication issu de Collectif de Citoyens Cogolinois « génération identitaire », de l’attribution d’un marché d’audit fiscal passé sans mise en concurrence, des « dîners dans le ciel » du port des Marines, de la ZAC du littoral, de la Société Publique Locale d’Aménagement, du parking du centre-ville, de la gestion de la base nautique par une société privée…
Dénoncés par Place Publique, d’autres projets pourraient connaître le même sort : le plan de circulation, la revente de l’ancienne maison de retraite préparée par des notaires de Levallois Perret (toujours et encore), la vente à la découpe du terrain du Yotel, le déplacement du stade pour de nouveaux projets immobiliers, l’anticipation précipitée de la fin de la concession du port des Marines, la transformation de la demeure-musée Sellier en hôtel privé…

Marc Etienne Lansade est un marchand d’illusions, doublé d’un marchand de biens, publics de préférence ! La désinvolture avec laquelle il dilapide l’argent public pour financer sa politique spectacle de communication, de strass et de paillettes est affligeante. Il aura emprunté massivement 11,5 millions d’euros en trois ans alors qu’aucun équipement d’importance n’est sorti de terre à ce jour.

Combien de temps encore Marc-Etienne Lansade va-t-il faire illusion ?

Notes de Lecture :
– « Le patriotisme, c’est l’amour des siens. Le nationalisme, c’est la haine des autres » (Romain Gary)

Assemblée générale de Place Publique le 30 septembre

Cela fait maintenant un peu plus de deux ans que l’association Place Publique vous tient informé(e) de ses activités dans le domaine de la vigilance et de l’animation citoyennes. Deux ans qu’elle dénonce les dérives de cet étrange équipage municipal : un policier municipal révoqué comme premier adjoint, un banquier qui a travaillé pour Patrick Balkany comme conseiller en urbanisme, une intime de Marion Maréchal Le Pen à la communication, un directeur de cabinet au passé sulfureux, avec à leur tête un ancien professionnel de l’immobilier de Levallois Perret.

Deux ans aussi que Place Publique propose des animations avec la conviction que la rencontre et le dialogue sont les seuls moyens de retisser les liens que la municipalité actuelle est en train de détricoter entre les Cogolinois.

A côté des paroles et des actes discriminatoires à l’égard d’une partie de la population, le maire entraine Cogolin dans une spirale financière dangereuse qui se traduit par une augmentation considérable des dépenses pour financer sa politique spectacle (personnel, animations, communications), une baisse des aides aux écoles, aux associations et à l’aide sociale, une baisse inquiétante de la capacité d’autofinancement du budget qui ne lui permet plus de rembourser la dette, un recours massif à l’emprunt alors qu’aucun projet d’investissement important n’a encore vu le jour.

Pour essayer de sauver les meubles et d’équilibrer son budget, il anticipe la fin de la concession du port des Marines dans une précipitation qui risque de compromettre ses espoirs de rentrées financières. L’autre manne espérée de projets immobiliers sur le terrain du Yotel semble s’enliser dans les marécages du risque d’inondation. En l’absence de recettes nouvelles, le maire envisage de vendre ou louer des biens de la commune à des intérêts privés : l’ancienne maison de retraite, le stade, la demeure-musée Sellier…

Il est urgent de faire cesser ce processus de dégradation du lien social, des finances et du patrimoine communal. Notre action passée a montré que nous pouvions faire obstacle à des projets contraires à l’intérêt général : parking Barrès, démolition de l’école Chabaud, déménagement de la médiathèque, sommes indument réclamées aux familles pour le centre aéré, parking semi-enterré du centre-ville, Société Publique Locale avec Fréjus, gestion privée de la base nautique municipale…

Nous devons poursuivre et renforcer notre action aujourd’hui ! Pour cela nous vous invitons à soutenir et à rejoindre notre rassemblement de citoyens déterminés à défendre les valeurs républicaines qui les unissent, dans le respect de leurs différences.

COGOLIN A BESOIN DE VOUS !REJOIGNEZ-NOUS!
PARTICIPEZ A L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE PLACE PUBLIQUE
QUI SE TIENDRA LE VENDREDI 30 SEPTEMBRE 2016 A 18H00 A LA BASTIDE PISAN DE COGOLIN

Images et Pdf complémentaires :
– diaporama-2ans-pdf.20160921.pdf

LE RENARD, LE COQ ET LES GAZELLES, Fable de Jean de la Fontvieille

A peine installé dans son palais communal
Maitre renard voulut régner sans partage
Sur la basse-cour de son royaume animal.
Pourtant, un coq au magnifique plumage
Y chantait chaque jour avec grande fierté
Sa gloire d’en être le sujet préféré.
Il paradait sur les armes de la cité,
Un musée en son honneur était consacré,
Une balade cycliste portant son nom
Réunissait chaque année nombre d’amoureux
De la nature, venus de tous horizons.
Cela rendait le renard royal ombrageux.
Il ne pouvait faire disparaitre pourtant
Celui qu’une légende avait fait symbole
Historique de la ville et ses habitants.
Avec sa ruse et sans aucun protocole,
Il décida de couper les ailes de l’oiseau
Afin de lui interdire ses balades.
Dans le même temps, deux gazelles au fin museau
Avaient en projet de grandes escapades.
Faisant leur promenade dans les parages,
Elles séduisirent vite l’animal roux.
Ainsi donna-t-il pour ordre sans ambages
Que l’on octroie aux antilopes les sous
Dont on avait privé le coq et ses amis.
Grace à cette allocation très généreuse,
Nos deux gazelles en voyage sont parties
Très loin gambader dans les dunes sableuses.
Pendant ce temps notre pauvre coq déplumé
Reçut de maitre renard l’ordre de marcher
Au pas de l’oie, tout comme un soldat de l’armée,
Incapable de se percher sur les clochers.

Morale
Mieux vaut pour voler deux « l » de gazelles
Qu’un gallinacé amputé de ses ailes

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– 03-ra-ponse-de-loisir-nature-a-vm-pdf.20160831.pdf
– 04-fable-du-renard-du-coq-et-des-gazelles-pdf.20160831.pdf

Retour sur terre brutal de « Dinner in the sky »

Rien à voir avec l’atterrissage en douceur de « Solar Impulse » après un tour du monde réalisé avec la seule force de l’énergie solaire. Moins de quinze jours après son premier décollage, la nacelle, destinée à envoyer les convives d’un diner dans le septième ciel cogolinois à l’aide d’une grue, a été obligée de revenir au sol prématurément faute de clients.
Le maire n’avait pourtant pas ménagé l’énergie et les moyens de la commune pour favoriser le succès de l’évènement : mise à disposition gracieuse du terrain, publicité gratuite dans la revue municipale et le site de la mairie, donc aux frais du contribuable… Sans parler de moyens de sécurité (lesquels) dont il dit lui-même que « cela va lui permettre de récupérer des forces de sécurité (lesquelles ?) qui étaient affectées à la protection de cette attraction pour les répartir sur d’autres sites de la commune ». Loin de nous réjouir, cet échec nous inquiète, car ce mélange d’intérêts privés financés sur des fonds publics ne relève pas d’une grande rigueur de gestion municipale.
Comme à chaque fois qu’une affaire tourne mal, Marc Etienne Lansade crie haut et fort que cela n’est pas de sa faute, en imputant ce revers aux attentats.
Les véritables raisons, il faut les chercher ailleurs. Elles nous sont données en partie par les promoteurs belges de cette affaire : « Nous n’étions qu’aux Marines de Cogolin … pas à Saint-Tropez ». C’est plutôt ingrat vis à vis d’un maire qui leur a déroulé le tapis rouge, mais reflète hélas la réalité : qui aurait pu être intéressé par un repas dit « gastronomique » à 395 € dans le confort de la nacelle d’un camion grue avec vue imprenable sur le parking d’un supermarché et la grande roue d’un Luna Park ?
Avec « dinner in the sky », Marc Etienne Lansade démontre une nouvelle fois son savoir-faire en matière de tape à l’œil, de bling-bling et d’effet d’annonces. Souvenons-nous des projets de scooters et de grand prix automobile électriques tombés à l’eau eux aussi. Il confirme hélas son incapacité à proposer des projets cohérents et raisonnés au profit des cogolinois.
Sa façon de faire se révèle inquiétante et ne laisse présager rien de bon. Si « Dinner in the sky » n’est qu’une simple péripétie sans lendemain, qu’en sera-t-il de l’aménagement du terrain du Yotel qui se prépare dans la plus grande opacité ? Si, comme cela se dit, il veut en faire une pâle copie de Port Grimaud, la catastrophe financière n’est plus très loin.
Qu’adviendra-t-il du port des Marines dont il a décidé précipitamment la reprise en gestion anticipée sans la moindre étude technique et financière préalable, sans avoir évalué ni le coût de la reprise des installations, ni celui des amodiations en cours, ni l’état des infrastructures, tout simplement parce que c’est son dernier espoir d’y trouver le moyen de renflouer les caisses de la commune qu’il a déjà mises à mal ? Impréparation, précipitation et absence de concertation risquent de transformer un dossier financièrement prometteur pour la commune en véritable fiasco… et les contribuables cogolinois en moutons tondus !

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– pub-revue-municipale-2-pdf.20160801.pdf

HOMMAGE AU PERE JACQUES HAMEL, MESSAGER DE LA PAIX LACHEMENT ASSASSINE

Nous condamnons avec fermeté l’acte de barbarie perpétré par des fanatiques dans l’église de Saint Etienne-du-Rouvray.
Nous partageons la peine et le deuil des catholiques, des chrétiens, avec tous les hommes et les femmes de bonne volonté, croyants ou pas, qui ont foi en l’humanité.
Car en assassinant lâchement un prêtre qui prêchait la paix et la fraternité, les bras armés de Daesh espèrent détruire notre démocratie et son corollaire, la liberté, qu’ils n’aiment pas. En semant la terreur, ils cherchent à fissurer l’unité des français autour des valeurs qui leurs sont chères.
Ne cédons pas à la peur, ne cédons pas à la haine, ne cédons pas à la tentation de la division. Notre solidarité est notre plus grande force pour vaincre l’obscurantisme.
Respecter la mémoire du père Hamel, c’est respecter sa parole. Là où nous sommes, œuvrons pour la fraternité et le vivre ensemble.

Après les attentats de Nice, Place Publique appelle à la solidarité envers les victimes

Le fanatisme et la folie se sont une nouvelle fois unis dans l’horreur en tuant des hommes, des femmes et des enfants innocents sur la promenade des Anglais de Nice. Il s’agit d’un nouveau crime contre l’humanité perpétré par des lâches qui préfèrent la mort à la vie.

Nous adressons nos condoléances les plus sincères à l’ensemble des familles et proches des victimes de l’attentat du 14 juillet.

La meilleure manière de leur rendre hommage est de leur exprimer concrètement notre solidarité en leur envoyant un don, aussi modeste soit-il, pour les aider à traverser cette période douloureuse avec le soutien psychologique, l’accompagnement juridique et le soutien financier nécessaires.

Pour cela, nous vous invitons à répondre à l’un des appels à la générosité suivants :
– Celui du journal Nice Matin qui s’engage à reverser l’argent reçu aux associations d’aide aux victimes. Pour donner : http://www.okpal.com/solidaritenice
– Celui de la Fondation de France soit en adressant un chèque libellé à l’ordre de « Fondation de France » à l’adresse Fondation de France, Ensemble face au terrorisme/give for France – BP 22 – 75008 Paris, soit en ligne : http://www.fondationdefrance.org (don sécurisé)

Par ce geste, montrons que nous restons solidaires de la vie.

Notes de Lecture :
– Nice-Matin / Var-Matin : http://www.okpal.com/solidaritenice
– Fondation de France : http://www.fondationdefrance.org

Menaces sur les ecoles

Madame, Monsieur, Parents d’élèves, Enseignants, RÉAGISSEZ !

DEPUIS 2 ANS : Baisse des Moyens des écoles de Cogolin et ingérence de la municipalité dans les projets d’école avec pour buts de faire des économies sur l’éducation de vos enfants et de faire rentrer ses idées de repli identitaire dans l’école.

RÉAGISSEZ pour empêcher la Mairie de continuer à maltraiter l’école
– Baisse de 20% de la somme donnée aux écoles pour l’achat des manuels scolaires et de fournitures
– Suppression des études du soir pour faire des économies alors que les enseignants sont volontaires pour continuer à les assurer
– Remplacement des études par une simple garderie payante, sans contenu pédagogique, encadrée par des non professionnels
– Pression exercée sur une école pour qu’elle modifie son projet pédagogique de fin d’année
– Mise en place d’activités périscolaires mal préparées et payantes.
– Suppression de la gratuité des transports scolaires
– Suppression de la remise gratuite de dictionnaires aux élèves de CM2 rentrant en sixième
– Imposition du poisson dans les repas des cantines du vendredi et suppression des repas sans porc : Pourquoi changer ce qui fonctionnait bien ?
– augmentation du prix de la garderie du soir (1,50€ au lieu de 1€) qui va se rajouter à celle du prix de la cantine (2.90€ au lieu de 2.52€)

RÉAGISSEZ pour empêcher cette dégradation programmée des moyens de l’école laïque qui remet en cause sa capacité à mener à bien ses missions d’enseignement et d’apprentissage de la citoyenneté ouverte aux autres et au monde.

RÉAGISSEZ pour stopper les interventions politiques inacceptables de cette municipalité dans les projets des écoles qui constituent des atteintes graves au principe républicain de neutralité de l’enseignement.

RÉAGISSEZ car il en va de l’avenir et de l’épanouissement de vos enfants, de vos élèves.

RÉAGISSEZ en nous retrouvant à la rentrée scolaire de septembre pour faire le point de la situation et envisager ensemble les actions à engager.

Images et Pdf complémentaires :
– tract-pdf.pdf