Le chantier de la résidence pour « séniors aisés » est en panne – bulletin d’information n5

Après la démolition expéditive de l’ancienne maison de retraite Peirin, le vaste terrassement du chantier reste béant et inactif depuis de longs mois.
Y aurait-on déterré les cadavres trouvés par un notaire de Levallois-Perret, selon les propos tenus par monsieur Smadja lors du conseil municipal du 14 janvier 2016 ?

Le maire explique pour sa part que la société Levalloisienne Frances Sénior vient de lancer un appel d’offres pour choisir l’entreprise de construction.
On s’étonne qu’elle ne l’ait pas fait plus tôt pour un projet livrable en 2020. Ne faut-il pas chercher l’explication ailleurs ? En effet, dès l’origine du projet, Place Publique avait souligné l’absence totale d’étude préalable qui aurait permis d’appréhender les besoins en matière d’accueil de séniors, y compris modestes, dans le secteur de Cogolin.
Ce qui pourrait expliquer que France Seniors rencontre quelques difficultés à commercialiser les cents appartements prévus.

Les Cogolinois ont été déshérités d’un bien qui leur avait été légué par madame Peirin. Ils ont par contre hérité de deux transformateurs électriques hideux plantés l’un au milieu d’une voie publique, l’autre sur une petite placette dont on a coupé le grand arbre et déplacé le banc. Place Publique a engagé un recours auprès du Tribunal Administratif contre la construction de ces deux bâtiments intervenue avant toute autorisation de travaux et financée par les Cogolinois en lieu et place du promoteur de Levallois Perret.

Le béton coule, le cadre de vie s’écroule – bulletin d’information n5

840 ! C’est le nombre de logements nouveaux créés ou à créer à travers les permis de construire accordés par Marc Étienne Lansade depuis qu’il est maire de Cogolin. Ce nombre ne concerne que le côté terre de la ville, il ne prend pas en compte les 568 logements prévus par les quatre permis de construire du terrain du Yotel que le Rapporteur Public du Tribunal Administratif a demandé d’annuler.

Une asphyxie programmée

On aurait pu se douter de cette frénésie immobilière venant d’un maire ancien professionnel de l’immobilier de Levallois-Perret et de son conseiller, ancien directeur de la société d’économie mixte qui a bétonné la ville du même nom. Mais de là à penser qu’ils iraient jusqu’à remplir de béton tous les espaces disponibles de la ville, il y a un pas que de nombreux Cogolinois n’auraient pas voulu voir franchir. Les panneaux de permis de construire ont poussé comme
des champignons. Notre Dame des Anges, Montée Saint-Roch, rue Edgard Quinet, chemin de Radasse, avenue Sigismond Coulet, rue des Mines, chemin du Carry, rue Barbusse, le Colombier… aucun quartier n’est épargné.

Pour le seul bourg, cela représente un accroissement de la population de l’ordre de 2 000 personnes et 1 500 véhicules automobiles supplémentaires. Et tout cela, sans le moindre plan d’aménagement, de circulation et de stationnement dans une ville déjà bien saturée. Les espaces de respiration de rencontres et de jeux pour les habitants ne sont pas à l’ordre du jour non plus.

Nous ne disposons pas de rue piétonne, de couloir cyclable, de transport en commun. Les personnes à mobilité réduite et les mamans avec leur poussette ont bien du mal à se déplacer et beaucoup renoncent.
Les piétons sont confrontés à des dangers permanents pour traverser la chaussée (comme les feux tricolores à l’arrêt) les passages piétons sont mal signalés ou pas éclairés, les trottoirs en très mauvais état (rues Gambetta et Jean Jaurès) ou encombrés par les bacs à déchets et divers matériaux, le stationnement est anarchique par manque de civilité et de police de proximité. On peut hélas faire le même constat dans les quartiers en périphérie.

S’il a des conséquences désastreuses sur la vie quotidienne des Cogolinois (embouteillages, pollution…), cet étouffement programmé constitue aussi un véritable frein à l’activité économique. On ne compte plus les commerçants qui ont définitivement baissé leurs rideaux pendant que d’autres cherchent un repreneur éventuel sans beaucoup d’espoir.

Pour une ville à vivre!

Il est urgent de redonner à COGOLIN un centre-ville commerçant et artisanal où il fait bon se promener, faire ses achats sereinement, avec plaisir. Au lieu de vouloir augmenter de manière obsessionnelle le nombre des constructions qui rendent les rues commerçantes impraticables, il convient de leur donner un accès facile et sécurisé pour tous. Cela passe par la réalisation d’un état des lieux précis des besoins et des contraintes, en concertation avec les habitants qui ont leur mot à dire sur les choix d’aménagement urbain qui les concernent. C’est avec eux que nous pourrons recréer un centre-ville partagé, accessible et attractif, avec des espaces verts, des lieux de pause et de rencontre, des aires de stationnement adaptées, des liaisons douces pour les piétons et les cyclistes…

De cela dépend le dynamisme de notre ville, le bien-être de ses habitants et de ses visiteurs.

Un maire en trompe-l’œil – bulletin d’information n5

Après cinq années de mandat, une des seules promesses qu’il aurait pu tenir, celle de couvrir les murs de la ville de trompe-l’œil, Marc-Étienne Lansade ne l’honorera pas puisque les fresques qui fleurissent un peu partout sont de simples « marouflages »*. S’il excelle dans cet art de la double tromperie, c’est pour mieux dissimuler les réalités de sa politique affairiste mise au service d’intérêts très privés.
Marouflage rime ici avec camouflage.

Les décorations peintes sur les transformateurs électriques installés sur la voie publique n’atténuent en rien ni leur laideur ni leur dangerosité. Elles ne font pas oublier que c’est pour servir les intérêts d’un promoteur de Levallois-Perret qu’elles vont plomber le paysage du vieux village pendant de longues années. Même les bancs de la cité sont camouflés Impossible de s’y asseoir pour les familles, les amoureux et les anciens.

Une grande fresque murale représente une librairie fictive, non loin de la demeure-musée Sellier désespérément fermée depuis trois ans à la suite de l’abandon du projet hôtelier que monsieur Lansade voulait confier à une relation de ses relations. La culture vaut mieux qu’un marouflage !

Pourtant les véritables trompe-l’œil existent, ils habillent tous les actes du Maire.

A commencer par sa politique sécuritaire qui était son crédo de campagne. Cinq ans après on apprend que des policiers municipaux sont révoqués et que la vidéosurveillance n’a jamais fonctionné. On trompe l’oeil des caméras… et celui des Cogolinois.

Pareil pour son plan de circulation dont il ne reste aujourd’hui qu’un feu tricolore, installé à grands frais par une entreprise de Levallois-Perret et qui clignote inutilement au croisement de la poste. En lieu et place, le maire délivre des permis de construire à tour
de bras, remplit toutes les dents creuses de béton, sans aménager le moindre espace de respiration, de rencontre et de vie pour les habitants.
Une véritable asphyxie programmée…

Le terrain favori de ses tromperies est celui du Yotel. Les promesses de projet communal, de Zone d’Aménagement Concerté et d’Écoquartier n’étaient que mensonges. Il a vendu le terrain pour le bétonner lourdement. Mais, après avoir annulé les modifications simplifiées n° 4 et 9, le Tribunal Administratif vient de demander l’annulation des quatre premiers permis de construire. Cela n’a pas empêché notre bonimenteur de maire de crier victoire pour tromper l’opinion… pas le Rapporteur Public du Tribunal.

Côté port, il dépense les millions sans compter pour les apparences luxueuses d’un yacht-club et de la capitainerie.

Mais derrière le vernis, d’autres scènes se jouent!
Après la résiliation par le tribunal administratif du marché de commercialisation attribué à la va vite à un marchand de fripes qui était le moins compétent et le plus cher de tous les candidats, notre généreux président de la régie du port a décidé de lui accorder une indemnité d’un million d’euros. Problème : le jour et à l’heure où le conseil d’administration de la régie a pris cette décision, Marc-Étienne Lansade était, « nous dit » la presse locale, en vacances dans le Morvan. Ici l’art du trompe-l’œil se double d’un véritable don d’ubiquité. Les boues polluées qui dorment au fond du port finiront bien par remonter un jour à la surface.

Dans la famille trompe-l’œil, on trouve aussi un budget équilibré grâce à la vente de biens communaux et à l’abandon de plus de 16 millions de travaux d’équipement prévus en cinq ans. Un double appauvrissement de la ville. On y rencontre également une Zone Agricole Protégée qui aboutit au contraire de l’intention affichée en ne protégeant pas les terres agricoles périurbaines les plus exposées à la spéculation. Il y a enfin l’interminable feuilleton du restaurant de plage du lot n° 2 où les amis de monsieur Lansade, les mêmes que ceux du Yotel, continuent de faire des affaires sur le dos des biens communaux.

Ouvrir les yeux des Cogolinois et non les tromper est bien le but affiché par le présent bulletin, bien plus modeste que les luxueuses brochures en papier glacé et en trompe-l’œil de monsieur Lansade.

La rédaction de Place Publique
* Toiles déjà peintes avant d’être collées

Séance de rattrapage

Pour ceux qui n’ont pas pu assister aux vœux de Place Publique du 30 janvier 2019, ou pour ceux qui voudraient en revoir le déroulement, Place Publique a mis sur son site l’intégralité de cette soirée.

L’enregistrement dure environ 3/4 d’heure.

Pour y accéder directement, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.
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Les actualités de Place Publique Cogolin

Nous avons le plaisir de vous adresser quelques informations sur l’actualité riche et positive de Place Publique
 
– pour celles et ceux qui n’ont pas pu assister à notre rencontre conviviale du 30 janvier, le diaporama présenté à cette occasion qui retrace les actions conduites en 2018 et les projets pour 2019
Voir le diaporama
 
– l’article de Var Matin du 30 janvier 2019 qui a accompagné cet évènement
Voir l’article
 
– l’article de Var Matin du 1° février 2019 qui annonce une nouvelle victoire de Place Publique avec l’annulation par le Tribunal Administratif de la modification simplifiée n° 9 destinée à permettre l’urbanisation massive du dernier espace boisé littoral de la commune. Après l’annulation de la modification simplifiée n° 4 et celle attendue de la modification simplifiée n° 10, c’est le système  mis en place par le maire et son conseiller de Levallois Perret qui est mis à mal. Système d’opportunisme immobilier destiné à mettre les biens communaux au service d’intérêts privés, dont certains  d’un réseau de relations proches qui s’enrichissent sur le dos des Cogolinois.
Voir l’article
 
Nous avons besoin de tous vos soutiens et de toutes vos forces pour mener à bien les nombreuses actions de veille et d’animations prévues en 2019, avant l’année décisive des élections municipales de 2020.
 
Aussi nous vous invitons vivement à adhérer à notre collectif citoyen, à renouveler votre adhésion 2018-2019 pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore fait.



Télécharger le bulletin d’adhésion

Vœux et galette des rois de Place Publique, le 30 janvier, Bastide Pisan

Madame, Monsieur,

Nous vous souhaitons une bonne année 2019. Qu’elle vous apporte la santé, la sérénité, la joie, la réussite et la force de résister face à l’adversité. 
Nous vous invitons à venir partager les vœux et  la galette des rois de Place Publique le mercredi 30 janvier 2019 à 18H00  à la Bastide Pisan.
Nous comptons sur vous pour poursuivre et approfondir le dialogue que nous avons engagé ensemble, indispensable pour permettre un avenir meilleur à notre ville.

Au plaisir de vous accueillir.
Bien cordialement.


D’une place publique à l’autre

Il ne vous aura pas échappé que le nouveau mouvement créé par l’essayiste Raphaël Glucksmann porte le même et joli nom de “Place Publique” que celui du collectif citoyen que nous avions créé il y a quatre ans au lendemain de l’élection d’une municipalité Front National dans la commune de Cogolin (Var).

Comme il l’affirme, ce nom est public, il n’appartient à personne en particulier mais à toutes les personnes qui veulent investir sa place pour participer à la vie de la cité et de la “res publica”.
C’est donc avec un intérêt tout à fait favorable que nous accueillons la naissance de ce nouvel espace citoyen auquel nous sommes prêts à faire partager les fruits de notre modeste mais intéressante expérience.

Initié en 2014 par un groupe de citoyens d’une grande diversité, ayant les valeurs républicaines chevillées au corps, notre collectif s’était fixé deux objectifs principaux :
– celui d’exercer une vigilance de chaque instant sur les pratiques d’une municipalité d’extrême droite.
– celui d’animer un espace de rencontres, de réflexion et de dialogue entre les habitants.

En quatre années d’existence, notre collectif n’a eu de cesse de dénoncer, combattre et faire obstacle aux dérives non seulement idéologiques, mais également affairistes de la municipalité FN.

Par ses actions déterminées, il a réussi à faire reculer le maire sur de nombreux projets contraires à l’intérêt général. Il n’a pas hésité à engager des actions devant les tribunaux qui ont permis de faire annuler plusieurs décisions jugées illégales.
Certaines affaires en cours d’instruction, y compris devant la juridiction pénale, devraient aboutir dans les prochains mois.

Sur le volet animation, Place Publique Cogolin a organisé des rencontres régulières autour des questions du vivre ensemble, de l’environnement, du réchauffement climatique, de la diversité culturelle, de l’Europe, de l’immigration et bien d’autres encore…
Chacune de ces rencontres a été suivie par un nombreux public.

Si vous n’avez pas encore pris connaissance des activités menées par notre collectif, dont le nombre d’adhérents a triplé, nous vous invitons à visiter notre site à l’adresse www.placepubliquecogolin.fr

Cette expérience démontre que des citoyens motivés peuvent agir effectivement sur les choix qui concernent leur ville, mais aussi préserver/développer un espace de dialogue entre ses habitants dans le respect de leur diversité.
Non seulement la participation des citoyens aux choix qui les concernent est possible, mais elle est une voie d’avenir pour notre démocratie.
Nous comptons sur la vôtre et vous invitons à nous y rejoindre si vous ne l’avez pas encore fait en remplissant le bulletin d’adhésion ci-joint.

Bulletin d'adhésion 2018-2019
Télécharger

Place Publique fait sa rentrée

Au bout de 4 ans de vigilance citoyenne permanente, animée par la seule défense de l’intérêt général de la commune, notre association commence à récolter les fruits de son labeur : 4 succès judiciaires, trois décisions des services de l’État qui corroborent les affirmations de Place Publique et le travail mené pour y parvenir. Mais les sujets d’inquiétude restent nombreux, trop de règles de droit sont encore bafouées, trop de biens publics sont détournés au profit d’intérêts particuliers…
Ce diaporama vous donnera un aperçu des activités de Place Publique au cours de l’année écoulée
Rejoignez-nous: plus nous serons nombreux, plus nous serons forts! Pour cela, adhérez (si vous ne l’avez pas encore fait!), ré-adhérez (si vous avez oublié de le faire!) et faites adhérer autour de vous.
Au plaisir de vous retrouver à l’occasion des prochaines rencontres publiques organisées par Place Publique tout au long de l’année.

Cogolin: ville à vendre, le replay de l’émission et la suppression de la subvention attendue

Pour ceux qui n’ont pas pu voir le documentaire: « Cogolin, ville à vendre », Place Publique vous donne la possibilité de le visionner en cliquant sur le lien ci-dessous. Il dure environ 52 min.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/emissions/qui-sommes-nous-2

Quelques jours avant sa diffusion, le producteur et journaliste Denis Robert a appris que la Région dirigée par Renaud Muselier a coupé le financement du documentaire alors que le comité d’experts qui instruit les demandes d’aide à la création avait validé le projet en novembre dernier.

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous trouverez une article du Monde qui relate l’affaire.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/05/07/le-documentaire-politique-produit-par-denis-robert-perd-ses-subventions_5295393_823448.html

Le Monde du 8 mai 2018

L’article de Var-Matin du même jour, sur le même sujet. (cliquable)

Les rencontres de Place Publique, Des moments d’échanges et de partage des savoirs – bulletin d’information n4

 

 

Malgré la volonté du Maire de lui faire payer les salles municipales, Place Publique a continué d’organiser ses rencontres conviviales sur des thèmes très variés :

De 1851 à nos jours, histoire et patrimoine du Var républicain » par Jean-Marie Guillon, professeur émérite en histoire contemporaine à l’Université Aix -Marseille, le mardi 29 novembre 2016
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/histoire-du-var-republicain-retour-sur-la-conference-passionnante-de-jean-marie-guillon.html

– « Pour l’exemple », récit imaginaire d’un poilu, pièce jouée le 26 février 2017 au Lézard, de et avec Félix Chabaud accompagné de Christiane Ildevert et Renat Sette.
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/une-piece-de-theatre-a-ne-pas-manquer.html

– Conférence débat sur la permaculture « Des plantes saines dans un sol sain » par Edo Malloggi retraité-jardinier, sociétaire et administrateur de la Société Centrale d’Agriculture, Horticulture et d’Acclimatation de Nice, le samedi 11 mars matin avec travaux pratiques l’après-midi dans les jardins partagés de Grimaud
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/journee-permaculture-le-11-mars-a-grimaud.html

– Vernissage de l’exposition “le FN au bout du crayon” à Cogolin, le samedi 18 mars, puis poursuite de l’exposition à Ramatuelle pendant 1 semaine au mois d’avril
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/exposition-le-fn-au-bout-du-crayon-un-vent-de-liberte-a-souffle-sur-cogolin.html

Conférence débat sur le maraîchage, le 30 Septembre 2017 avec découverte d’une exploitation en maraîchage et d’un projet d’agroforesterie, découverte d’une AMAP, par Yann agriculteur à Cogolin
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/conference-debat-sur-le-maraichage.html

La place d’un musée dans la politique de la ville : conférence de Mme Malika Dorbani conservatrice et directrice du Musée National des Beaux-Arts d’Alger de 1977 à 1994, vendredi 6 Octobre 2017.
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/la-place-dun-musee-dans-la-politique-de-la-ville.html

Fidèle à ce qu’elle a annoncé à sa création, il y a 3 ans, Place Publique s’efforce de créer des espaces ouverts de rencontres, d’échanges, d’informations et de dialogues respectueux de la diversité des Cogolinois.
Elle souhaite ainsi contribuer au développement de la vie associative, sociale et culturelle de Cogolin pour y vivre bien tous ensemble.

Si vous souhaitez donner votre avis sur notre association, n’hésitez pas à remplir le questionnaire suivant : http://www.placepubliquecogolin.fr/article/en-quelques-clics-repondez-au-questionnaire.html