Assemblée Générale de Place Publique, le 29 juin 2018

Madame, Monsieur

Nous vous rappelons que l’Assemblée Générale de Place Publique aura lieu vendredi 29 juin 2018 à 18h à la Bastide Pisan de Cogolin.

Venez nombreux, adhérents et non adhérents, pour savoir ce qui se passe réellement à Cogolin. Nous allons avoir besoin de vous tous pour continuer à mener le combat engagé contre les projets du maire et lutter contre une politique qui méprise à la fois les personnes et les règles.

Pour les adhérents qui ne peuvent pas y participer, pensez à nous envoyer votre pouvoir, à l’adresse Place Publique, chez Francis José-Maria, 130 avenue de la Giscle, 83310 Cogolin ou par mail à placepubliquecogolin @gmail.com

L’assemblée se prolongera par un apéritif convivial.

Nous comptons sur votre participation et votre soutien.

Participation, procuration, candidature

COGOLIN DÉFIGURÉ (suite)


Après un centre-ville abîmé (voir billet précédent) pour satisfaire les acheteurs parisiens de l’ancienne maison de retraite, un nouveau chantier s’engage tout aussi dévastateur

Sous la couverture d’une réunion de quartier avec des riverains mécontents, la majorité a choisi deux solutions pour réduire les problèmes importants de stationnement et de circulation dans le quartier  » Plein Soleil »

PROPOSITION 1    Détruire 4800m2 d’espace de loisir sur 7200m2 pour créer un parking de 84 places. Sur les 2400m2 épargnés il resterait une piste d’athlétisme, une aire multi loisirs, un espace jeux pour les très jeunes enfants, des allées piétonnes (avec peut-être des bancs…). Ces installations à l’abandon depuis l’élection de l’équipe municipale actuelle ne pourraient qu’être améliorées !

PROPOSITION 2   Une copie en plus petit format de la proposition 1

Au lieu de transformer les 2/3 de l’aire de jeu en espace de stationnement on n’en détruit que 50%, pour le reste rien ne change….

C’est un choix démocratique recette du chef.

Le Maire entend les riverains mais ne retient pas la suggestion intéressante d’un président de conseil syndical qui permettrait d’ouvrir environ 60 places de stationnement en créant un sens unique sur les voies desservant le quartier.

Il promet une enquête auprès des riverains pour choisir entre les proposition 1 ou 2, (bonnet blanc ou blanc bonnet ?)

Une nouvelle fois cette consultation citoyenne ne servira à rien, le programme est déjà annoncé.

Il semblerait que la première proposition surdimensionne le parking mais ce parking sera-t-il destiné aux seuls riverains ??? On peut se poser la question sachant que la transformation de la salle de sports (COSEC)en plateau d’animations et salons divers n’est pas très loin…Certains habitants y voient la volonté incontournable d’une majorité municipale peu soucieuse de détruire leur cadre de vie.

Cela se ferait aussi au mépris des scolaires qui n’auront plus qu’une piste de 100m de long pour pratiquer le sport au milieu des gaz d’échappement qui nuiront aussi à la santé des enfants de la crèche jouxtant la voie d’accès au parc de stationnement.

Une nouvelle victoire pour Place Publique, une nouvelle défaite pour M. Lansade

Place Publique a le plaisir de vous adresser, en pièce jointe, l’article de Var-Matin du 5 mai 2018 annonçant une nouvelle victoire pour l’association et une nouvelle défaite pour Monsieur Lansade.

Il n’est pas inutile de faire un bref historique de ce dossier en rappelant les raisons qui ont conduit Place Publique à réagir et les moyens d’action qu’elle a été amenée à utiliser.

Dès 2015, quelques mois seulement après les élections municipales, Place Publique qui n’existait que depuis peu s’inquiétait déjà de ce qui se passait sur le terrain du Yotel. Cela a commencé au conseil municipal du 15 décembre 2014 qui a décidé d’attribuer sans mise en concurrence un bail d’exploitation des installations du Yotel à une société Marina Paradise (SEMP) qui n’était pas encore créée.  Un mois après on apprenait sur le site de la commune la sous-location de ce bail à la société Homair sans que le conseil municipal en ait été informé. Place Publique avait aussitôt écrit au maire avec copie au préfet pour s’en inquiéter.  La Chambre Régionale des Comptes dénoncera un peu plus tard l’opacité de cette opération financièrement avantageuse pour SEMP au détriment de la commune.

Et pour qu’elle rapporte encore plus à son bénéficiaire SEMP, le maire n’a pas hésité à engager au plus vite la modification simplifiée n° 4 du Plan Local d’Urbanisme (PLU) destinée à autoriser l’installation d’habitations légères de loisirs pourtant interdites en raison du risque d’inondation. Malgré une plainte et les interventions de Place Publique, malgré une lettre d’observations du Préfet que le maire avait « oublié » de présenter à son conseil municipal, le maire a fait approuver cette modification en juillet 2016.

Place Publique a aussitôt déposé un recours devant le tribunal administratif de Toulon en avançant les principaux motifs suivants : non seulement la procédure simplifiée utilisée n’était pas adaptée, elle était incompatible avec les règlements du Plan de Prévention du Risque d’Inondation (PPRI) et du PLU, mais en plus, le conseil municipal n’avait pas reçu toutes les informations nécessaires à l’approbation de cette modification du PLU.

3 ans se sont écoulées avant que l’affaire ne soit jugée et c’est avec fierté et soulagement que Place Publique a appris qu’à la suite de son recours, le Tribunal Administratif de Toulon vient d’annuler la modification simplifiée n° 4 du PLU voulue par le Maire de Cogolin et approuvée par deux délibérations consécutives de juin et juillet 2015, elles aussi annulées. Le jugement a été rendu le 20 avril 2018.

Un revers pour Monsieur Lansade mais le combat n’est pas terminé puisque depuis 2015, une nouvelle modification simplifiée a été votée en Conseil Municipal (modification n°9) et quatre permis de construire ont été accordés à la COGEDIM. Place Publique a d’ailleurs déposé des recours contre cette nouvelle modification simplifiée et contre les 4 permis.

On ne lâche rien !

vm2018-05-05

Place Publique à la fête de l’Europe du Forum Républicain de Fréjus

De gauche à droite: le député européen Thierry Cornillet, Francis José-Maria, les représentants du Forum Républicain Marie-Jo De Azevedo et Gérard Sebtoune.

Comme tous les ans à la même époque, une délégation de Place Publique a participé à la cinquième édition de la Fête de l’Europe organisée par le Forum Républicain de Fréjus. Sa Présidente, Marie-José de Azevedo, a utilement rappelé que cette manifestation festive a été créée par son association citoyenne dès 2014, aussitôt après l’élection de la municipalité Front National de David Rachline dont un des premiers actes a été de supprimer le drapeau européen du Fronton de la Mairie.

Les représentants des différents partis politiques et associations se sont succédé au micro pour rappeler avec force les vertus de la construction européenne, sans toutefois occulter les progrès qui restent à accomplir dans de nombreux domaines : harmonisation sociale, défense, politique migratoire…

Le député Européen Thierry Cornillet a rendu hommage  à cette Europe  du rapprochement entre les peuples et de la paix. Cartes à l’appui, il a montré combien la dimension européenne était incontournable  pour   exister et faire entendre notre voix face aux grandes puissances que sont la Chine, les Etats Unis, la Russie, l’Inde…

Après avoir félicité la présidente du Forum Républicain pour l’organisation de cette cinquième Fête de l’Europe, Francis José-Maria a tenu à lui exprimer  l’entière solidarité de Place publique en rappelant que le maire de Cogolin avait lui aussi fait disparaitre tous les drapeaux européens de la commune. Car si le combat pour l’Europe  se mène au niveau des instances européennes, il doit aussi être livré pied à pied sur le terrain et en particulier sur les terres où le Front National a gagné des municipalités.  Parce que le Front National, c’est la négation de cette page importante de notre histoire qui a permis une paix durable et inédite, c’est la négation du rapprochement entre les peuples, mais c’est aussi la tentation du repli à l’intérieur de nos frontières, une non solution  qui entrainerait un retour inévitable aux conflits et à la guerre. Il a également informé la public de la diffusion  prochaine du documentaire « Cogolin une ville à vendre » sur France 3 et sur la chaîne Public Sénat. Patiemment tourné depuis quatre ans, ce film est un témoignage objectif montrant  quel niveau de bassesse peut atteindre une commune quand elle est gérée par une municipalité Front National.

Le reportage filmé de cette Fête de l’Europe ainsi que l’interview du député Européen Thierry Cornillet seront prochainement mis en ligne sur notre site www.placepubliquecogolin.fr

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Liberté Défigurée, Liberté Supprimée

La place de la république a échappé à la défiguration avec l’abandon du projet de parking souterrain qui prévoyait la construction d’un haut mur sur une partie de son périmètre. La place de la liberté, toute proche, n’a malheureusement pas résisté au béton qui la ronge avec la construction d’un local électrique. Comme un malheur n’arrive jamais seul un second est implanté à la sortie de la rue du 11 novembre en contradiction avec les règles de sécurité routière.

Après la fermeture de la demeure musée Sellier, laissée à l’abandon depuis plus de deux ans, le vieux village subit un nouveau coup dur avec l’édification de ces deux nouvelles verrues en béton qui viennent le défigurer.

Transformateur Enedis, coté Mairie
Transformateur Enedis, Place de la liberté
Dommage pour la fresque, Place de la Liberté

A la contestation unanime des riverains, le maire répond que végétation et peintures en trompe l’œil masqueront le béton… Même s’il est un spécialiste de la tromperie, on doute que ce maquillage suffira à faire disparaître l’impact visuel de ces bâtiments hideux sur l’harmonie des vieux quartiers.

Dans un autre lieu, le jardin du quartier « Plein Soleil », les enfants de Cogolin avaient planté en 1989 un « arbre de la Liberté » pour fêter le bicentenaire de la Révolution Française. Celui-ci vient de mourir, faute de soins et d’entretien, laissé à l’abandon comme l’ensemble du quartier.

Arbre de la Liberté, Plein Soleil

Au lieu d’en planter un nouveau, la municipalité l’a fait arracher et a ôté la plaque commémorative, comme pour faire disparaître toute trace de ce symbole vivant de nos valeurs républicaines. Ce geste brutal est irrespectueux de notre histoire locale à laquelle une nouvelle page est enlevée.

Terrain de jeux, Plein Soleil
Piste d’Athlétisme, Plein Soleil

Nous retrouvons le même état d’abandon au square Mansui, lieu de souvenir qui porte le nom d’un enfant de Cogolin mort au combat.

Square Mansui
Square Mansui
Square Mansui
Chemin de Radasse
Chemin de Radasse

On ne peut voir là que mépris de l’histoire locale,de l’environnement et de la population. Nous continuerons à nous battre pour préserver et défendre notre patrimoine COGOLINOIS

4000 ans d’histoire dans les Maures

Conférence de M André Falconnet
Mardi 15 Mai, à 18H00 à la Bastide Pisan, Cogolin
ENTREE LIBRE

L’association archéologique Aristide Fabre a été créée il y a 20 ans à Ste Maxime, où se trouve son siège et depuis rayonne dans le massif des Maures et le Centre Var. Elle compte 160 membres.

Elle a conduit plusieurs fouilles, en particulier: vivier romain des Sardinaux, à Ste Maxime, oppidum du Meinier de l’ Age du Fer à Ste Maxime , site romain de la Castellane à Grimaud, dé- gagement et valorisation de la villa romaine de Pardigon à la Croix Valmer et a participé aux fouilles de Cavalaire, village de pêcheurs romain, de Forum Voconii, agglomération romaine au Cannet des Maures et sa nécropole le long de la voie Aurélienne, restauration de la cave romaine des Toulons à Rians, la 2ème plus grande installation viticole du monde romain, etc et la restauration actuelle de la chapelle de Pardigon sur la commune de Cavalaire. Elle organise tous les mois conférences dans le golfe, visites archéologiques, prospections, et 2 à 3 expositions par an dans les différentes communes. Elle a participé aux Arcs à la création d’un circuit culturel, en colline, en réhabilitant un four à poix, en dégagent un dolmen, un site de 9 menhirs et un site romain, submergés de broussailles, etc

C’est fort de cette expérience, que la conférence se propose de parcourir cette période pour illustrer la vie des hommes qui ont progressivement habité, cultivé ce massif et même avant, pendant la période glaciaire il y a 30 000 ans : les hommes préhistoriques d’alors allaient à pied aux îles du Levant, en parcourant la steppe. Puis la vie des hommes de l’Age du Fer au sommet de nos collines, dans leurs oppida, des Celto ligures commerçant avec Marseille la grecque, avant l’arrivée des Romains qui bouleversent le mode de vie, introduisent la vigne et l’olivier, créent des routes terrestres et maritimes, des villas Enfin au Moyen Age l’influence des grandes abbayes sur des terres ravagées par les invasions, les pillages et les destructions. Toute cette histoire est inscrite dans nos terres, nos forêts, qui protègent ces vies passées comme une mère le fait en recouvrant son enfant pour le protéger

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Cogolin: ville à vendre, le replay de l’émission et la suppression de la subvention attendue

Pour ceux qui n’ont pas pu voir le documentaire: « Cogolin, ville à vendre », Place Publique vous donne la possibilité de le visionner en cliquant sur le lien ci-dessous. Il dure environ 52 min.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/emissions/qui-sommes-nous-2

Quelques jours avant sa diffusion, le producteur et journaliste Denis Robert a appris que la Région dirigée par Renaud Muselier a coupé le financement du documentaire alors que le comité d’experts qui instruit les demandes d’aide à la création avait validé le projet en novembre dernier.

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous trouverez une article du Monde qui relate l’affaire.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/05/07/le-documentaire-politique-produit-par-denis-robert-perd-ses-subventions_5295393_823448.html

Le Monde du 8 mai 2018

L’article de Var-Matin du même jour, sur le même sujet. (cliquable)

Le FN au bout du Crayon au Cannet

Place Publique, en la personne de son président Francis José-Maria, était au Cannet des Maures, le 7 avril 2018, pour le vernissage de l’exposition « Le FN au bout du crayon » organisée conjointement par Alexandre Faure, président du Crayon et Roger Depierre, président de l’association citoyenne Ensemble pour le Luc avec entre autres, Marie-Jo de Azevedo, présidente du Forum Républicain de Fréjus, Sereine Mauborgne, députée de la 4ème circonscription du Var, Pascal Brun, représentant de la Coordination Varoise Contre l’Extrême droite, Pascal Caffa dessinateur humoriste et Président des Rencontres crayonnées pour la liberté d’expression à Carpentras, avec la chorale de la Redonne orchestrée par David Bardy,…

HOMMAGE AUX VICTIMES DES ATTENTATS DE L’AUDE

Encore une fois, l’horreur a frappé dans l’Aude et devant ce nouvel attentat, se manifestent toujours, la même sidération, la même douleur et la même incompréhension.

Le collectif citoyen de Place Publique a rendu hommage aux victimes en étant présent sur le parvis de la mairie de Cogolin lundi à 18h. Des fleurs ont également été déposées la veille par un de ses représentants devant la gendarmerie de Trèbes en hommage aux victimes. Place Publique s’associe aux chagrins des familles et salue le courage du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame qui a sauvé des vies en sacrifiant la sienne.

Plus que jamais, face à la barbarie, notre collectif continue et continuera à défendre les valeurs de la démocratie.

EAU ET CHANGEMENT CLIMATIQUE – Quelles réponses locales à une problématique globale?

Vendredi 23 mars 2018 à 18H00 Bastide Pisan de Cogolin
Rencontre débat animée par
Francis JOSE-MARIA

Vice-président
de l’association l’Eau Partagée
Membre de l’Académie de l’Eau et du Comité Français des Barrages et Réservoirs,
Ancien directeur du Syndicat des Eaux de la Corniche des Maures, Président de Place Publique

L’alternance de longues périodes de sécheresses et d’épisodes pluvieux violents est l’une des manifestations de l’emballement planétaire du climat. Quelles réponses locales un territoire comme le nôtre peut apporter pour s’adapter aux conséquences d’un réchauffement climatique global ?

Animateur de la longue expérience de gestion, d’éducation et de coopération de l’eau partagée, Francis José-Maria en présente aujourd’hui les principaux enseignements. Comment le projet a réussi à mettre en relation le territoire de la Corniche des Maures avec une région sahélienne du Burkina Faso, menacée de disparition par l’avancée du désert. Comment les actions engagées s’ancrent dans les réalités vivantes de chacun des territoires tout en s’ouvrant au monde. Comment les outils et méthodes utilisées permettent de prendre en compte les représentations des différents publics pour leur permettre de devenir les acteurs de leurs apprentissages et des solutions techniques mises en place. Comment la découverte des interrelations fortes entre les êtres et les choses favorise la compréhension d’un monde complexe en développant un outil de pensée lui aussi complexe…

L’expérience vécue permet à chacun de mesurer combien les solidarités locales et planétaires sont nécessaires pour rendre accessible à tous une eau de plus en plus inégalement répartie. Car la crise que nous traversons ne fera que s’aggraver si les inégalités continuent de se creuser dans la répartition des richesses. L’eau est la plus précieuse d’entre elles.

Cette expérience montre que si le changement climatique nécessite la recherche de réponses globales (COOP 21…), il passe inévitablement par la résilience de chacun des territoires impactés. Non seulement pour leur permettre de s’adapter à ses effets immédiats, mais aussi pour y faire émerger les solutions du futur.

L’expérience de l’eau partagée a été présentée lors de nombreuses conférences nationales et internationales : Forum Mondial de l’Eau (Kyoto-Japon 2003 et Marseille 2012), rencontres nationales de l’eau (Aix les Bains 2007), Conférence internationale sur la gestion de la sécheresse (Saragosse 2008), Congrès Mondial d’Education à l’environnement (Montréal 2009), Comité International des Grands Barrages (Japon 2012), Colloque International d’Education (Université de Clermont Ferrand 2016)

Elle a reçu les soutiens  de  plusieurs personnalités  dont Pierre Rabhi, Philippe Meirieu, Eric Orsena, Edgar Morin, et des institutions suivantes : l’Agence de l’Eau, la Région, l’Unesco, l’Académie de l’Eau,  les Réserves de biosphère, FNE PACA

Elle a également reçu le label de la Décennie des Nations Unies pour l’Education en vue du développement durable, le prix de l’eau et de l’éducation du Symposium International de l’Eau de Cannes (2011) et le prix du festival international  « Eau et Cinéma » pour son film « L’enfant et la mare » (2012).

22 mars 2018 – Journée Mondiale De L’Eau

L’humanité a besoin de l’eau
Une goutte d’eau est flexible. Une goutte d’eau est puissante. Rien n’est plus nécessaire qu’une goutte d’eau.

L’eau est au cœur du développement durable. Les ressources en eau, ainsi que la gamme de services qu’elles peuvent rendre, contribuent à la réduction de la pauvreté, à la croissance économique et à la sauvegarde de l’environnement. De la nourriture et la sécurité énergétique à la santé humaine et environnementale, l’eau contribue à l’amélioration du bien-être social et à une croissance équitable, affectant les moyens de subsistance de milliards d’individus.

Thème 2018 – « L’eau : la réponse est dans la nature »

Les dommages environnementaux, associés aux changements climatiques, sont à l’origine des crises liées à l’eau que nous observons dans le monde entier. Les inondations, la sécheresse et la pollution de l’eau sont aggravées par la dégradation de la végétation, des sols, des rivières et des lacs.

Lorsque nous négligeons nos écosystèmes, il est plus difficile de fournir à tous l’eau dont nous avons besoin pour survivre et prospérer.
Les solutions basées sur la nature ont le potentiel de résoudre nombre de nos problèmes d’eau. Planter de nouvelles forêts, reconnecter les rivières aux plaines inondables et restaurer les zones humides permettra de rééquilibrer le cycle de l’eau et d’améliorer la santé humaine et les moyens de subsistance.

L’objectif de développement durable n°6 – Garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau – a notamment pour cible de réduire de moitié la proportion d’eaux usées non traitées et d’augmenter considérablement à l’échelle mondiale le recyclage
et la réutilisation sans danger de l’eau.

La Journée mondiale de l’eau est coordonnée par ONU-Eau (le mécanisme de coordination inter-institutions des Nations Unies pour toutes les questions liées à l’eau douce) en collaboration avec les gouvernements et d’autres partenaires.

http://www.un.org/fr/events/waterday/